De ce qui fut un jour l’une des plus belles forêts de baobabs du Sénégal, il ne reste plus qu’un paysage mortifère de cratères abandonnées, résultat de l’exploitation du calcaire à Bandia, à une heure de route de Dakar. Les habitants sont révoltés contre un projet d’extension d’une cimenterie, qui s’est récemment vu attribuer 236 hectares supplémentaires de forêt classée pour leur activité.
le Point