Couplée avec la 2ème session des académies Nationales Olympiques d’Afrique, l’assemblée générale évaluative de l’Association des Académies Nationales Olympiques d’Afrique (AANOA) se déroule depuis hier à l’hôtel Salam de Bamako. Prévue pour deux jours, cette rencontre capitale vise à améliorer la gouvernance au sein de la structure. Placée sous la présidence du Ministre des Sports, cette cérémonie a enregistré la présence, des président de l’ACNOA, de AANOA, de l’Académie Olympique du Mali et du reste du contient, ainsi que le président CNOS Habib Sissoko.

Malgré un contexte sécurité peu évident, les participants de la 2ème session des académies Nationales Olympiques d’Afrique, l’assemblée générale évaluative de l’Association des Académies Nationales Olympiques d’Afrique (AANOA) ont tenu à effectuer le déplacement dans notre capitale. Pour le président Habib Sissoko, ceci est une source de confiance et de sérénité pour sa modeste personne, fils d’un pays qui faisait un peu peur. Debout et conquérant, le Mali continue sa marche vers des lendemains meilleurs. Pour faire d’une pierre deux coups, le rendez-vous de Bamako prévoit conjointement à son menu : le contrôle de la gouvernance de l’exécutif de l’AANOA et l’Approfondissement du débat sur les académies nationales olympiques.

Pour le président Habib Sissoko qui n’a jamais fait mystère de son engagement total en faveur de la bonne gouvernance au sein de notre sport, la gouvernance  demeure « un choix de vivre ensemble et une manière de gérer le bien commun et l’intérêt général. Elle est gestion efficiente, efficace et éthique du sport ».
Pour le président des académies Olympiques, les programmes doivent, être suffisamment flexibles, pour satisfaire aux besoins des jeunes. Ils doivent être adaptés aux supports d’enseignement imprimés ou électronique et s’adresser à tous les membres de la société.

Il s’agit de mettre en exergue la mission d’éducation Olympique, à l’endroit des jeunes pour une citoyenneté de tous les jours, en inculquant à nos jeunes, les véritables valeurs du sport. Dans ce combat que les acteurs veulent, soutenu et sans relâche, la responsabilité incombe des acteurs du mouvement sport africain est  entière. Il s’agit de mesurer quotidiennement le sens et la portée de cette mission pour la traduire sur le terrain, en actes concerts, susceptibles d’aider les jeunes à s’épanouir, et à s’imprégner des valeurs Olympiques.
Pour le relever ce défi,  le mouvement olympique doit travailler la main dans la main. La réussite d’une telle mission dépendra de la conjugaison des efforts, et de la parfaite synergie.

Lamine Diallo

Source: Waati