Le débit s’amenuise jour après jour, au fur et à mesure que Gazprom resserre les vannes des gazoducs desservant l’Europe. Fin mai, la compagnie nationale aux ordres du Kremlin avait déjà coupé les petits pays en fin de contrat (Pologne, Danemark, Bulgarie).
Elle s’est attaquée cette semaine aux trois grands pays européens, l’Allemagne, la France et l’Italie, dont les chefs d’État se sont rendus jeudi à Kiev pour marquer leur soutien à l’Ukraine face à l’invasion russe.