L’« aïd el fitr » a été diversement célébrée par les femmes à travers le pays. Si dans certaines grandes villes, elle a été l’occasion d’organiser des manifestations folkloriques, dans des contrées reculées, l’insécurité et la conjoncture économique ont provoqué un manque d’engouement chez les populations. A Diabaly, dans la région de Ségou, des femmes ont renoncé à la célébration de l’aïd el fitr en solidarité à leurs sœurs de Dogofri menacées par des jihadistes depuis plusieurs mois.
Source: studiotamani