Une date qui restera à jamais gravée dans la mémoire de Maurice, un jeune de nationalité togolaise vivant au Mali depuis quelques années. Ce dernier vivait paisiblement avec Oumou et se préparait, les jours à venir, à prendre cette dernière en mariage.
Oumou avait une amie du nom de Adja qui a la poitrine remplie de «lolos». Maurice n’ira par quatre chemins pour faire la cour à la copine de sa fiancée. Sa demande fut rejetée par Oumou. Il croyait avoir à faire avec les proies faciles de Bamako où l’argent est érigé en règle d’or. Malgré les SMS avec des promesses, Oumou ne reculera pas d’un iota. Le non est de mise. Assommée par des messages de Maurice, elle décide finalement de donner une bonne leçon à notre ami délinquant sexuel que brûle le désir ardent de passer à l’acte.
Le délinquant sexuel prend le soin d’appâter la sirène en lui proposant une randonnée nocturne dans le but de prendre un pot, comme on le dit dans le jargon des amateurs des bars. Oumou accepte l’offre et les deux se retrouvent dans un maquis. Maurice qui nourrit le désir de découvrir l’intérieur de la jupe, propose d’aller trinquer ailleurs. Ils se trimballent dans un autre bar qui dispose de chambres de passe. Maurice commande du poisson braisé et prend le soin de payer une chambre pour se prélasser. Oumou refuse d’entrer dans la chambre, mais Maurice réussit à la convaincre que c’est pour se reposer. Aussitôt la porte franchie, des cris fusent de la chambre. Selon la version de la fille, notre homme a brandi son «Bakary» sans son aval et elle a réagi en la griffant rageusement avec ses ongles.
Destin GNIMADI
Faits divers
Des loubards agressent un journaliste de «Le Prétoire»
Dans la nuit du 30 mars 2013, aux environs de 22 heures, notre reporter reçoit un coup de fil d’un ami à partir d’un bar appartenant à un Camerounais et situé vers l’ex siège du Pdes à l’Aci 2000. Son interlocuteur l’informe qu’une femme est sur le point d’être surprise par son mari dans une chambre de passe. De quoi se mettre sous la dent en cette veille de fête pascale car avec ce genre de flagrant délit d’adultère, rien de tel pour servir nos lecteurs friands de fait divers.
Une petite descente sur le terrain permet de constater que le mari de la femme, assis dans sa voiture, surveille la sortie des chambres de passe. Juste le temps de faire rentrer sa moto dans la cour du bar, notre reporter est surpris de voir un jeune se présenter devant lui en lui tendant un ticket. «Le propriétaire de ce bar n’a jamais autorisé à ce que ses clients donnent de l’argent pour les parkings», réplique notre reporter, avant d’enlever sa moto pour la confier à un ami boutiquier qui n’est pas du tout loin de l’endroit. Après, il reprend le chemin de la maison. Mais surprise ! Trois hommes l’attendent de pied ferme. Précisons qu’il y a de cela trois mois, notre reporter a été menacé dans le même bar avec un pistolet. Ce dernier reconnaît que, parmi ces trois agresseurs du jour, il y en a un qui faisait partie de la première attaque. Ils ont élu domicile dans ce bar et leur sport favori est la consommation de toutes sortes de drogues, au vu et au su de tout le monde. Ce comportement de ces délinquants doit attirer l’attention des forces de l’ordre du 14e arrondissement. Ceux-ci font déjà l’effort en permettant à ses éléments de faire la ronde nocturne. Mais, il serait intéressant d’aller au-delà, en opérant aussi dans les bars où des délinquants trouvent refuge. Pour l’instant, l’affaire est devant la justice.