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AES: « l4Afrique se lève enfin… »

Ce samedi 16 septembre 2023, l’histoire s’écrit sur le sable du Sahel en lettre d’espoir pour les populations de la zone des trois frontières, exposées de manière continue au terrorisme depuis plus d’une décennie, mais aussi pour l’Afrique entière. Pour les porte-drapeaux de l’espérance africaine, c’est l’Unité africaine tant souhaitée par les fils du continent qui est en train d’être ensemencé à nouveau par les présidents Assimi Goïta du Mali, Ibrahim Traoré du Burkina Faso et Abdrahmane Tchani du Niger ? Il faut prier pour que les mânes de nos ancêtres accompagnent cet élan visionnaire.


Car, il s’agit sans doute du résultat inévitable de l’histoire d’un continent martyrisé et une démarche logique et intelligente de la part de ces trois leaders. Mieux vaut tard que jamais, diront certains. Formulons seulement des vœux pour cette décision panafricaine et Patriotique de nos trois Chefs d’Etat visionnaires et engagés avec cœur et âme aboutisse à un véritable réveil du continent tel qu’entonné dans notre hymne : «l’Afrique se lève enfin, saluons ce jour nouveau… »
En effet, dans un contexte mondial en pleine évolution, cette alliance renforce la capacité des pays du Sahel à faire face aux défis sécuritaires et à promouvoir la prospérité économique. C’est une étape importante vers une Afrique plus unie et résiliente.
L’Alliance des Etats du Sahel (AES), mise sur les fonts baptismaux ce samedi 16 septembre 2023, c’est pour un Sahel des peuples, un Sahel de paix, libre, souverain et prospère. Tout en espérant que cela s’étende rapidement aux infrastructures et à une véritable intégration économique.

Nathalie Yamb : l’intégration africaine en marche !!! L’Alliance des États du Sahel (AES) est née ! Les chefs d’Etat du Mali, du Burkina Faso et du Niger ont signé la Charte du Liptako-Gourma instituant la mise en place d’une architecture de défense collective et d’assistance mutuelle au bénéfice de nos populations. What a time to be alive ! Bientôt, les funérailles de la Cedeao.

Egountchi Behanzin : nous saluons cette belle initiative visant à défendre et protéger les populations du Sahel. Cette initiative entre le Mali, le Niger et le Burkina Faso est salutaire et nous espérons que d’autres pays les rejoindront pour former un bloc qui permettra de défendre les intérêts des populations africaines de cette région. Le problème des Africains doit être réglé par les Africains eux-mêmes, avec le soutien de partenaires sincères et fiables tels que la Russie, etc. Félicitations à Assimi Goita, à Abdrahmane Tchiani et à Ibrahim Traoré.

Issiaka Ouattara : il faut que cette Alliance cible et privilégie les actions de développement de l’ensemble du Liptako-Gourma, sans parti pris, et les traduisent en actions car les bénéficiaires eux-mêmes sont tous sociaux culturels et économiques transnationaux.

Amir Nourdine Elbachir : l’Afrique des libertés est en train de prendre vraiment ses responsabilités. Comme je suis fier aujourd’hui, comme je suis heureux d’être militant de ce nouvel ordre qui est en train de prendre forme.

Christ 24 International : c’est un très grand pas de géant vers l’indépendance et la souveraineté pleine et entière des peuples. La prochaine étape sera certainement l’éclatement de la CEDEAO et de l’UEMOA, organisations d’asservissement.

Lougaye ALMOULOUD : cet acte est hautement historique. Certes, il fera objet de beaucoup de commentaires pessimistes, mais dans quelques années, quand les premiers résultats bouleverseront la logique sécuritaire actuelle, laissera place à un incontestable havre propice au développement, on verra !!!

Saifon Djalloh : veuillez nous dépasser de ces limites que vous vous imposez, pour fonder le noyau d’un État Fédéral : Système institutionnel et réglementaire (Constitution) d’une VÉRITABLE République, qui commence par vos 3 territoires et qui couvrira, à terme, tous les territoires actuels de la CEDEAO.

A.D : Reste à confirmer si le Burkina et le Niger font toujours partie du G5 sahel. Je sais que ça fait une belle lurette que le Mali s’est retiré. L’objectif est de savoir si leur présence au sein du G5 sahel n’entrave pas le fonctionnement de l’AES sur le plan juridique.

Modibo Keita : le peuple Africain éveillé d’aujourd’hui n’est pas celui d’hier, on veillera sur nos autorités compétentes pour nos intérêts. Nous sommes au courant des manipulations, des mensonges de l’occident et sous-préfets locaux, ça ne va plus prendre, c’est fini.

Info Matin

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