La privation de liberté de certaines personnalités politiques et militaires et l’extension de mesures d’assignation à l’épouse et aux enfants de certaines d’entre elles ne finit pas de provoquer l’ire des organisations et formations politiques éprises de justice.
Ainsi, la Commission Nationale des Droits de l’Homme (CNDH) a, dans un communiqué, dénoncé » la privation de liberté hors du cadre légal » et appelé les autorités à » mettre fin » à cette mesure d’assignation à résidence surveillée.
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Source : l’Indépendant