Des violations des droits de l’Homme, les plus graves, ont été commises sur la population dans plusieurs localités du Nord du pays. A Tombouctou, les femmes victimes de la crise se sont constituées, de façon spontanée en association et en réseau pour une synergie d’action commune. Elles veulent actuellement obtenir réparation.
Les femmes victimes de la crise à Tombouctou sont toujours sous l’état de choc. Elles dénoncent leur non prise en charge. Elles invitent les autorités à mener des actions concrètes pour leur rendre justice.
La Commission vérité, justice et réconciliation dit comprendre l’impatience des victimes. Selon ses responsables, le rôle de la CVJR est de recenser toutes les victimes, de vérifier les allégations et de produire un rapport qui est soumis au gouvernement pour réparation.
source: L’indicateur du Rénouveau