Le Président du Conseil Malien des Chargeurs, Babalaye Daou, accompagné par le Directeur Général de l’AER Souleymane Berthé, a visité le jeudi 21 février 2019, les stands d’exposition dans le cadre de la semaine malienne des énergies renouvelables. Avant cette visite, il a d’abord pris part à la conférence débat organisée dans le même cadre et dont le thème était « Investir avec succès dans les énergies renouvelables au Mali.»
A l’issue de cette visite, le Président du CMC, s’est dit satisfait parfaitement et agréablement surpris par ce qui se passe au Mali dont ils ignoraient l’existence. Selon lui, les responsables de l’Agence des Energies Renouvelables doivent communiquer sur ce qu’ils font. Ainsi, il dira qu’il a vu plusieurs utilisations des appareils qu’il préfère et qu’il a découverts lors de cette visite. Il dira qu’il n’est pas seul et que c’est des choses qui pourraient intéresser a beaucoup de personnes. Rassurant les responsables, il dira qu’il est déjà leur ambassadeur. « Je le ferais et je le dirais aussi aux uns et autres », a-t-il souligné. Tout en ajoutant qu’il y’a des belles réalisations, que c’est efficace, malien et à notre porté. Par ailleurs, en ce qui concerne cette transition énergétique au Mali, Babalaye Daou, a fait savoir qu’il est venu à cette semaine des énergies renouvelables en tant que commerçant mais en espérant être un investisseur dans le solaire. Il dira qu’ils ont situé les complexités, les difficultés et qu’il a eu des assurances de part et d’autre. « Ça nous intéresse parce que quand on a été un commerçant, quand on est resté longtemps dedans, on a envie de changer, d’être un industriel ou dans d’autres domaines. Ce n’est pas les moyens financiers qui manquent, c’est juste qu’on a besoin de quelqu’un qui sait nous les expliquer et qui peut nous donner les assurances. Si cela est réuni aujourd’hui nous pourrons le faire et ça sera un exemple rare », a-t-il précisé. Selon lui, ça sera autant de synergie qui va se créer. Cependant, il a insisté sur l’accompagnement de l’Etat afin de faciliter l’investissement dans les différents domaines.
Ousmane Baba Dramé
Source: Le Républicain