Un policier et une servante, surpris en pleins ébats sexuels. L’affaire aurait pu être considérée comme banale, si ces ébats sexuels n’avaient pas eu lieu à la résidence, aux 2 Plateaux, d’un ministre de l’actuel gouvernement. Le policier, faut-il le rappeler, est de la garde du ministre, quand la servante elle est embauchée pour faire justement à manger à tous les membres de la sécurité du membre du gouvernement.
Comment comprendre ces faits ? A en croire nos sources, dans la nuit du 31 décembre 2013 au 1er janvier 2014, il y a ambiance à la résidence du ministre, répondant aux initiales de B.K. On célèbre avec faste, comme partout ailleurs, le réveillon de la Saint-Sylvestre. Plus tard, au petit matin, les invités rentrent chez eux, quand le ministre et les siens se retirent dans leurs chambres. Les employés de maison, pour leur part, s’emploient à débarrasser les couverts et à mettre de l’ordre dans la résidence. Le tout, dans une ambiance d’hilarité activée par quelques verres d’alcool. Peu après, sur les instructions du sergent A.K, de la garde du ministre, les employés de maison rangent rapidement tout et chacun, rentre chez lui. La fête est terminée.
Mais voilà que peu après, soit aux environs de 6h du matin, on entend des gémissements de plaisir, provenant du garage de la résidence. Mais qui peut avoir transformé le garage en hôtel de passe ? Lorsque l’un des membres du personnel approche, le spectacle qui s’offre à lui, est renversant. Le sergent A.K, qui talonnait à l’instant les employés pour qu’ils dégagent, est en pleine partie de jambes en l’air avec une jeune dame, membre du personnel de maison duministre également. Le visage sur le côté, la langue pendant littéralement et les mains accrochées aux reins de la « bonniche », le sergent de police ne badinait pas du tout dans ses coups de reins. Sa dulcinée et lui s’offraient, sans commune mesure, une montée fulgurante au 7ème ciel.
Le scandale éclate et le ministre est saisi. La fille de ménage, à qui nous attribuons le prénom de Yvonne, la trentaine, est simplement virée. Le sergent de police, la quarantaine, lui, est reversé dans son unité d’origine. A savoir, la Brigade de surveillance des personnalités ( Bsp). A la résidence du ministre, on comprend maintenant toutes les largesses de la servante, à l’égard de A.K. Pendant que les autres membres de la sécurité se contentaient d’une « bouffe » sans grand relief, A.K, lui, se faisait servir des repas copieux, par sa tendre Yvonne. Mais tout cela s’est désormais terminé dans la honte. Leur petit jeu, qui est une faute professionnelle lourde, ayant été découvert.