A l’origine de l’échec de la rencontre du 8 Avril à Koulouba entre le président IBK, amateurisme et le laxisme de ceux-là en charge d’organiser et de communiquer autour de l’évènement : Le protocole de la présidence.
Un grand manque d’organisation et de communication, c’est ce que l’on peut retenir de la rencontre entre IBK et des leadeurs religieux avec à sa tête l’imam Mahmoud Dicko qui, une fois de plus à la tribune lors cette rencontre, a clairement fait savoir qu’il ignorait l’objet de sa présence. Acte de sabotage ou réalité ? Comment se fait-il que la présidence envoie des invitations sans notifier au préalable à l’invité l’objet de la rencontre ?
Encore, ce qui n’est pas encore dit, c’est que l’imam Dicko avait fait le déplacement à Koulouba en tant que président du haut conseil islamique et non celui qui a fait une démonstration de force le vendredi 5 Avril au boulevard de l’indépendance. Et par simple respect au département du haut conseil islamique, la moindre des choses était de signifier à l’imam Dicko pourquoi on lui avait fait appel.
De pareils faits forts regrettables, l’on ne peut les constater que seulement à la présidence de la République du Mali. Et c’est ce qui arrive le plus souvent à des responsables qui se font entourer par des personnes qui font toujours semblant de travailler.
La Rédaction
Source: La Sirène