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Que sont-ils devenus ? OUMAR TRAORE ET WIN WIN AFRIQUE FONT CAUSE COMMUNE

Les responsables de Win win Afrique étaient face à la presse lundi au siège de l’Association des journalistes sportifs du Mali (AJSM). Au cours de cette rencontre, il a été essentiellement question du lancement au Mali de Win win Afrique, une initiative qui vise à «mettre le sport au service de l’éducation, de la réconciliation nationale, du développement économique et de la cohésion sociale au Mali». Pour présenter le projet, il y avait le président de Win win Afrique, Régis Charpentier, son associé Pierre Mbas et le Franco-Malien Oumar Traoré. «Win win Afrique, expliquera Régis Charpentier, est une plate forme digitale qui permet de cartographier et d’accompagner les projets en fonction de leur localisation, de leurs impacts et de leurs besoins. Elle est ouverte aux projets associatifs, aux initiatives d’entreprises publiques ou privées, aux projets de collectivités, aux projets de coopération internationale, aux projets du mouvement sportif local».

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Concrètement, résumera Régis Charpentier, Win win Afrique est une plateforme d’accompagnement de projets de développement par le sport. «Elle offre des solutions locales et internationales adaptées permettant d’assurer l’accompagnement, la structuration et le financement des projets sportifs d’intérêt général».
Oumar Traoré qui est connu au Mali pour avoir fait un bref séjour au CSK et créé l’Atlético club de Bamako, abondera dans le même sens en soulignant l’importance du projet pour le Mali en général et le monde sportif national en particulier. «Win win Afrique innove et permet d’inventer de nouveaux circuits de financements pour des projets de développement du sport en Afrique. Le football est plus qu’un sport, il contribue à véhiculer de grandes valeurs humaines et rassemble toutes les catégories de populations, toutes les générations, sans distinction de catégorie sociale, dira Oumar Traoré. Notre académie met un point d’honneur à défendre ces valeurs d’égalité et de rassemblement. Grâce à la plateforme je suis confiant sur notre capacité à mobiliser le grand public et à accompagner l’engouement des futurs partenaires», poursuivra celui qui rêvait de porter le maillot du Mali mais dont la carrière a été écourtée par les blessures récurrentes. On notait également la présence à la rencontre du partenaire local du projet, Noumouké Diané «Ladji» et du président de l’association N’Tola Sarama, Moctar Sow. Au cours de leur séjour au Mali, Oumar Traoré et ses partenaires ont rencontré plusieurs personnalités dont l’épouse du chef de l’Etat et président de l’académie olympique, Mme Keïta Aminata Maïga, le ministre des Sports, Housseïni Amion Guindo, le président du Comité national olympique et sportif (CNOS), Habib Sissoko, les responsables de la Fédération malienne de football (FEMAFOOT). La délégation a également présenté le projet à quelques acteurs du développement notamment la Banque africaine de développement, PMU-Mali et Orange-Mali. «Partout où on est passé, nous avons reçu un accueil chaleureux», témoignera le président de Win win Afrique, Régis Charpentier.

S. B. TOUNKARA

CAN 2017 : La CAF  VEUT DES FANS-ZONES!

A l’image de l’Euro 2016, la CAN 2017 au Gabon devrait disposer de fans-zones, ces grands espaces où des milliers de supporters se rassemblent pour suivre le match sur un grand écran !
« Nous pensons que Libreville et Port Gentil vont en accueillir », a confirmé le secrétaire général de la CAF, Hicham El Amrani, à la BBC. « En termes de taille de population, ces villes ont du sens. Nous voulons qu’une atmosphère de fête soit établie ici », a-t-il ajouté. La présence de fans-zones à la CAN serait évidemment une grande première.
En raison de leur taille moins importante, les villes de Franceville et Oyem, qui vont également accueillir la compétition, ne devraient en revanche pas bénéficier d’un tel dispositif. La CAF craint tout simplement que la mise en place de fans-zones dans ces lieux se traduise par une affluence en berne dans les stades. « Nous pourrions en mettre dans ces villes, mais en fait la priorité est de s’assurer que le stade soit rempli », a reconnu Amrani. En réalité, l’idée d’introduire des fan-zones à la CAN n’est pas totalement nouvelle. La CAF espérait en effet déjà mettre en place un tel dispositif lors de la CAN 2015, qui devait avoir lieu au Maroc. Le Mondial des clubs 2014, organisé au Royaume, avait d’ailleurs déjà permis de tester ce dispositif, avec succès.
Cependant, comme on le sait, le Maroc a renoncé à organiser la CAN aux dates prévues en raison de la menace incarnée par le virus Ebola et la Guinée-Equatoriale a récupéré l’organisation de la compétition à 64 jours du coup d’envoi. Un délai bien trop restreint pour songer à lancer cette innovation. L’oubli devrait être réparé au Gabon du 14 janvier au 5 février prochains !

Source : L’ Essor

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