Lors de la prise de pouvoir de la Seleka à Bangui en mars 2013, une force africaine était déjà en place dans le pays, mais pour Idriss Déby, qui s’exprimait en marge du sommet France-Afrique, ses effectifs étaient insuffisants pour contrer l’avancée des rebelles.
Idriss Deby Itno
Président du Tchad
‟ Nous avions moins de 500 éléments tchadiens, camerounais, gabonais et congolais (…) Nous aurions donc perdu face à une force en surnombre.”
Source: RFI