Les avocats africains se sont opposés  à l’idée de Me Mamadou Ismaël Konaté de soutenir un projet qui visait  à créer un barreau dans l’espace  Ohada, il y a un an de cela. L’avocat corrompu, Me Mamadou Ismaël Konaté qui défend les intérêts du colonisateur par l’intermédiaire de son ami Pierre-Olivier Sur, bâtonnier de l’ordre des avocats de Paris ne visait que ses propres intérêts, en l’occurrence des miettes que lui tendent ses amis français. Mais c’était mal apprécier la détermination des avocats africains dont  le bâtonnier  ivoirien, Marcel Beugré, fermement opposés à  une telle humiliation juridique et soutenu par ses pairs africains. “Il est regrettable de constater que les barreaux de l’espace Ohada n’ont été ni informés de cette initiative ni associés à ce projet”, écrivait déjà le 9 juin Cyrille Djikui, le bâtonnier de l’Ordre des avocats du Bénin. “Il est inadmissible qu’un tel projet, concernant des barreaux d’un espace communautaire africain, puisse être porté par le barreau de Paris”, renchérit Marcel Beugré.

Le principal coupable de cette mésaventure juridique est le président de la Cour commune de justice et d’arbitrage de l’Ohada, Marcel Sérékoïssé. Un traitre nègre qui avait pour ambition de créer une association juridique néo-féodale pour enchainer davantage le continent en complicité avec Me Mamadou Ismaël Konaté, cet homme sans vertu, valet local du néo-colonialisme,  capable de détruire toute une corporation par de simples calculs égoïstes. Il n’est pas étonnant que ce piètre avocat ne remporte pratiquement jamais de procès, car congénitalement carrent et stratégiquement analphabète compte tenu de sa position qui défend l’oppresseur au détriment de l’opprimé, dont lui-même fait partie. Les conséquences d’un tel projet, s’il voyait le jour, seraient catastrophiques pour les Africains et des dizaines voire  des centaines de cabinets se verraient fermés  à cause d’une concurrence déloyale.

Le malheur ne venant jamais seul, l’affaire de Ras Bath, est en train de briser le peu de crédit qui reste de Me Mamadou Ismaël Konaté, un véritable cancer pour la justice.  Selon des sources dignes de foi, les plaintes de ses victimes dont la BHM,  exigent que le président IBK le démette  de ses fonctions, comme le souhaite une majorité des Maliens, d’organisations de journalistes, des leaders religieux dont Chouala Baya dans une vidéo postée sur les réseaux sociaux en date du samedi 5 novembre. Tous sont unanimes, Mamadou Ismaël Konaté doit être démis de ses fonctions.

H.L

Source: lepays