La date symbolique du 31 août vient de s’achever en emportant avec elle tout espoir de procéder à des réformes politiques et institutionnelles. Ce, conformément aux engagements internationaux pris par le Mali, disant que » six mois avant les élections, aucune réforme n’est possible « . De ce fait, même si Choguel Maïga voulait faire des innovations, il ne pourrait les faire qu’en impulsant un consensus pour ces projets.
Malheureusement, ni la classe politique, ni les religieux et, encore moins, la communauté internationale ne le soutiendra dans ses intentions, à partir du moment où elles tendent vers la prolongation de la transition. C’est dans cet esprit que le comité local de suivi de la Transition, conduit par le Représentant Spécial du Secrétaire général des Nations Unies, El-Ghassim Wane a rencontré, hier, jeudi 2 septembre, le Premier ministre. Le chef de la MINUSMA a rappelé, devant la presse, l’attachement de la communauté internationale au respect du calendrier fixé pour la tenue des élections.
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Source : l’Indépendant