Le guitariste, le batteur, le pianiste, le joueur de tam-tam, de Djembe, de Kora ou encore de ngoni, le chanteur et même les choristes se retrouvent au chômage à cause des avancées technologiques qui permettent de créer des mélodies ou encore beat sans le concours de ces professionnels.
La révolution technologique a-t-elle handicapée l’industrie de la musique ?
Notre convive ce soir est Abdoulaye Diombana, directeur du palais de la culture Amadou Hampâté Ba. Il fut directeur de la troupe régionale de Tombouctou lors des biennales de 2008 et 2010. Il va éclairer notre lanterne par rapport à tous ces aspects.