Le gouvernement gabonais s’est dit satisfait de la décision de la Cour pénale internationale de ne pas ouvrir d’enquête sur les violences post-électorales de 2016 au Gabon.
Le gouvernement gabonais avait saisi la CPI pour des « faits relevant de l’incitation à commettre le crime de génocide » de la part de certains opposants.
La procureure de la CPI a conclu qu’il n’y avait « pas de base raisonnable ».
L’opposition demande au procureur de la République de se saisir du dossier. Jean Gaspard Ntountoume Ayi est l’un des porte -parole de l’opposant Jean Ping
BBC Afrique