Depuis quelques mois, le monde estudiantin malien est tenaillé par l’angoisse, à cause de la prise en otage de leurs notes de session par le corps professoral.

Il y a un mois environ, la question suscitait une vague de protestations sur fond de manifestations très violentes dans les rues de la capitale.

Malgré ces nombreuses pressions émanant de leur organisation, en l’occurrence  l’AEEM, le problème continue de dominer la plateforme revendicative des étudiants.

En définitive, l’équation demeure entière et certains craignent même une nouvelle année blanche si des réponses appropriées n’étaient pas trouvées à cette problématique qui taraude le monde estudiantin.

Les notes des sessions seront-t-elles finalement libérées à temps ? L’année universitaire sera-t-elle sauvée ? Autant d’interrogations que les étudiants se posent et auxquelles viennent se greffer également la brûlante équation des bourses.

Djéneba DIARRA