En tout cas, des sources concordantes font un lien entre des combattants de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) et des terroristes qui opèrent à la frontière entre le Mali et le Niger.
Des accusations qui rajoutent à l’isolement des ex-rebelles désormais estampillés acteurs du double jeu et surtout complices des terroristes. Et comme pour apporter l’eau au moulin du président Mahamadou Issoufou et ses barbouzes, Alghabass Ag Intalla, le parton du Haut conseil de l’unité de l’Azawad (HCUA), figure de proue de la CMA, multiplie les sorties visant à blanchir la CMA, oubliant que “qui se justifie s’accuse”.
DAK