Les élections législatives du 29 mars prochain secouent l’Alliance Démocratique pour la Paix (ADP-Maliba), depuis peu, à travers certaines publications des réseaux sociaux. À telle enseigne qu’une décision a été prise pour stopper toute communication autours des actualités des différentes sections.
Alors que la clôture officielle des listes est imminente, certains partis n’ont pas fini de trancher. C’est le cas au niveau de la 3ème force politique du scrutin présidentiel, où les empoignades sont légion. On peut citer autant de cas dans le District de Bamako, ainsi qu’au pays profond. Par exemple la Commune V, où deux (02) «ladies» sont à couteaux tirés. L’une est celle qui a été désignée par la base et l’autre qui renie ce choix.
Dans un contexte où la candidature féminine est devenue une plus-value au nom de la loi des 30%, ces deux (02) dames n’entendent pas lâcher le morceau. Près de nous, dans le fief d’Amadou Haya Sanogo, le scénario est pareil. Un candidat a été désigné à Kati en la personne de Drissa Lamine Coulibaly, depuis le 1er février. Mais des sources proches de la section des lieux indiquent qu’il est contesté par le finaliste de la conférence de section. Ce dernier serait d’ailleurs le jeune frère au président d’honneur de l’Alliance Démocratique pour la Paix (ADP-Maliba). Empoignades constatées dans la cité des Balazans aussi, où la grogne est palpable…
RETROUVEZ L’INTÉGRALITÉ DE L’ARTICLE DANS LA PARUTION DU JEUDI 13 FÉVRIER 2020
BAMOÏSA
NOUVEL HORIZON