« Tout a commencé l’année dernière, lorsque mon mari et moi avions divorcé.
Je ne pouvais plus payer le montant du loyer de mon appartement. Je ne pouvais pas non plus gérer le dépôt même pour un appartement bon marché à Douala.
Mon fils Patrick et moi avons fait le choix de vivre dans sa voiture faute de moyens. Mon ancien patron semblait toujours être l’homme le plus gentil au monde à mes yeux car il m’a donné quelques sous pour survivre.
Quelques semaines plus tard, je suis allée le voir pour un autre prêt et il lui m’a offert un «travail» avec en plus des moyens ainsi qu’une remorque pour y vivre avec mon fils. Cependant, il m’a proposé en contrepartie une chose obscure. Je devais avoir des rapports sexuels avec mon fils chaque week-end devant lui. J’avais refusé un premier temps.
Trois semaines plus tard, en constatant qu’il n’y avait plus rien à manger pendant des jours, la souffrance se faisait sentir sur le visage de mon fils, j’ai alors décider de contacter à nouveau mon patron. Je n’avais pas beaucoup d’options. Je suis donc allée à la rencontre de mon patron et je lui ai demandé si nous pourrions accepter son « offre fou » ! Il nous demandait de faire des sketches, parfois il nous demandait d’innover lors des rapports sexuels. La fellation était obligatoire pour assurer le montant.
Après ces séances séxuelles, le patron nous a payé les 550 000 franc cfa (environs $1000) comme convenu. Mon fils Patrick m’a fait des choses que même mon mari n’a jamais fait avec moi. Je couche avec mon fils 5 fois par jour mais c’est pour l’argent et aussi parce que mon patron aime ça rien de plus. Je n’ai pas en tout cas l’intention d’arrêter ce mode de vie avec mon fils.
Mon patron qui est d’origine camerounaise n’a pas également envie de tout arrêter. »
Qu’en pensez-vous donc ?
Source: afri-pulse.