L’avocat de l’entreprise « Eléphant Vert » a accepté de nous rencontrer pour réagir à nos articles (Le Challenger No 1331 et No 1337) sur l’affaire Pape Kabirou M’Bodj. Une bien ténébreuse affaire tant par les circonstances de l’assassinat du jeune opérateur de la salle de commande que par l’instruction qui ne finit pas de traîner, malgré l’existence de nombreux indices. Et, malgré les pertinentes interrogations auxquelles il suffit tout de chercher à trouver réponses.
La Direction générale d’Eléphant Vert, selon son avocat Me Mahamadou Traoré, est résolument engagée à tout mettre en œuvre afin que la vérité éclate dans l’affaire de l’assassinat de Pape Kabirou M’Bodj, opérateur de salle à l’usine de l’entreprise à Ségou.
A l’en croire, à « Eléphant Vert », on veut savoir ce qui s’est réellement passé.
La Direction d’Eléphant Vert, a souligné Me Traoré, a tout intérêt à la manifestation de la vérité car l’affaire concerne cinq de ses agents.
L’un a perdu la vie et les quatre autres sont placés sous contrôle judiciaire par le juge d’instruction. Il partage aussi le souci des lenteurs constatées dans l’instruction de l’affaire. « Eléphant Vert ne peut être que partie civile dans ce dossier », explique-t-il.
Affaire à suivre…
La rédaction
Le Challenger