La Syrie a laissé passer une nouvelle échéance pour le démantèlement de ses armes chimiques. Le retard est maintenant de plusieurs semaines et le Conseil de sécurité a fait part de son inquiétude, demandant des « mesures rapides » au gouvernement syrien. Un gouvernement qui semble, lui, traîner des pieds, selon la coordinatrice de l’ONU, la néerlandaise, Sigrid Kaag.
Sigrid Kaag
Coordinatrice de l’ONU
Les échéances intermédiaires n’ont pas été respectées. Ces retards ne sont pas insurmontables et la date du 30 juin peut être tenue. Tous les équipements sont sur place. Nous comptons sur une avancée rapide, en tenant compte des conditions de sécurité précaires dans le pays.