Amnesty International soutient que des centaines de personnes ont été victimes de torture.
L’ONG indique que des centaines de personnes ont été arrêtées et torturées par les autorités sud-soudanaises pendant la guerre civile qui a débuté en 2013.
Le groupe de défense des droits de l’homme a déclaré que beaucoup d’entre eux étaient des détenus politiques accusés d’être proche de l’opposition.
Un nombre important de ces détenus ont été victimes d’agressions sexuelles.
Amnesty évoque également des cas de disparitions forcées.
L’ONG affirme que le gouvernement du Soudan du Sud est de plus en plus intolérant à toute forme de critique.
Un porte-parole du président Salva Kiir, Ateng Wek Ateng, a nié ces allégations de torture et a déclaré que plus de 20 détenus politiques avaient été récemment libérés et que moins de trois étaient toujours détenus.
BBC Afrique