1) Trop ridicule lorsqu’un dirigeant d’entreprise ignore que la Constitution d’un syndicat n’obéit à aucun formalisme en dehors du dépôt des actes de création auprès de l’autorité compétente. Le minimum de rigueur intellectuelle pouvait inciter NSIA et ses souteneurs, au moins, à se renseigner auprès des « connaisseurs » y compris le BIT).
2) Cette tentative de diversion est inutile et vaine parce que le SYNABEF n’a pas besoin de prouver à une petite entreprise familiale son existence juridique ; même si son patron est dans l’illusion qu’il suffit d’être « Milliardaire » pour mettre le Mali et les MALIENS dans sa poche ;
3) Le problème réel posé qui ne saurait être déplacé par aucune manœuvre est « le licenciement illégal » reconnu par la Direction Nationale du travail et l’Etat du Mali, à travers le Ministre de la Fonction publique ;
4) Le droit à la grève est consacré par la Constitution du Mali ; elle constitue une voie légale tout comme la voie judiciaire ;
5) Si elle était sûre de son « mensonge » NSIA aurait pu publier, ne serait-ce que l’extrait du plumitif du jugement en référé du Tribunal du travail, pour que les « connaisseurs » comprennent qu’il s’agit d’une « fin de non-recevoir » fondée sur l’article 2 du CPCCS du Mali.
6) En réalité le SYNABEF n’avait adressé au Président du tribunal du travail qu’un courrier juste pour constater la nullité du prétendu licenciement ; le juge a estimé que l’adresse complète du domicile du SYNABEF manquait et que c’est le Secrétaire Administratif, et non le Secrétaire Général du SYNABEF, qui a signé ce courrier. (FIN DE NON RECEVOIR EN DROIT) ;
7) NSIA toujours dans le Mensonge, en aucun moment le juge n’a méconnu l’existence juridique du SYNABEF ; nous attendons la preuve de ce mensonge grossier (lui au moins il comprend la réglementation du travail) ;
8) Par ignorance encore NSIA croit que c’est la qualification des faits d’elle NSIA (employeur milliardaire) qui s’impose en l’espèce, autrement qu’il suffit que « L’empire NSIA » qualifie un courrier de désobligeant pour constituer la faute d’insubordination sans la moindre preuve ;
9) Le SYNABEF s’attendait à ces tentatives vaines de manipulation et de mensonges du « milliardaire » pour tenter d’embarquer les moins vigilants et les faibles d’esprit ;
10) Le SYNABEF tient à la disposition de quiconque veut savoir la vérité dans cette affaire les pièces à conviction et non des commentaires et articles commandés.
Aguibou Bouare SG SYNABEF