L’exploitation marinière au Mali est un domaine prisé par les investisseurs étrangers. L’opérateur économique malien, Aliou Boubacar Diallo est le seul compatriote ou presque à se lancer dans l’exploitation marinière et y a réussi. Voilà ce qui crée la consternation chez certains investisseurs étrangers qui lorgnent déjà la mine. Ces nouveaux entrants, du moins, les concurrents potentiels-non des actionnaires de dernier dégré, de la Société tentent de contourner à tout prix les organes de gestion et de contrôle de Wassoul’Or dans le seul but d’assouvir leur dessein.
C’est pourquoi, par presse interposées, ils procèdent à des tirs croisés dans une campagne de dénigrement qui ne dit pas son nom. La cible à travers une crise créée de toutes pièces : le patrimoine immobilier de l’homme tant au Mali qu’à l’extérieur, son fonds d’investissement canadien ou encore ses différentes entreprises.
Faut-il vraiment laisser des prédateurs abattre froidement une perle si rare ? Non !
Aliou Boubacar Diallo, après plusieurs opérations de rachat de dettes des pays africains a massivement investi dans le secteur minier. Il a tout de même su valoriser et vendre l’indiscutable potentiel minier de notre pays. C’est de la capacité des maliens à lever de l’argent dans les marchés financiers internationaux pour investir dans les énormes potentialités de notre pays que se jouera la bataille du développement autonome du Mali.
Il n’est un secret pour personne que tous les secteurs d’activités ont été affectés par le Coup de Force du 22 Mars 2012. Et les sociétés marinières ne font pas exception d’autant que toute entreprise humaine connaît des cycles de naissance, de croissance (avec ses écueils) et de décès. Pour autant, la Société minière Wassoul’Or, à travers des décisions tant stratégiques qu’opérationnelles, est en train de franchir une étape très importante de son cycle de croissance.
Cela est d’autant plausible que les statistiques mondiales montrent que sur trois mines qui ouvrent une s’arrête et redémarre après. Et cette statistique est bien vérifiée au Mali.
Sur neuf permis d’exploitation au Mali, cinq mines ont déjà été à l’arrêt après leur ouverture, ce qui dépasse de loin la moyenne mondiale. Syama, après son ouverture a été fermé à plus de deux reprises et a ouvert avec succès. Tabakoto, après son inauguration a été arrêté et a redémarré après. Kalana a été arrêté à plusieurs reprises. Robex est à l’arrêt.
Kodiéran de notre compatriote est à l’arrêt aussi et cherche à redémarrer.
Il nous revient que des prédateurs étrangers, veulent profiter des difficultés actuelles de Wassoul’Or pour dénigrer son PDG Aliou Boubacar Diallo au point d’affecter toutes ses autres entreprises-et créer au finish un fossé virtuel entre ses partenaires et Lui.
Qui ne se souvient pas des actions salvatrices du PDG de Wassoul’Or à l’endroit des veuves des malheureux événements survenus en janvier 2012 à Aguel’Hoc où il a remis la bagatelle de 50 millions de nos francs ? Qui veut ignorer l’assistance de ce Mécène aux blessés de guerre au dispensaire de Kati, en tant que patriote ?
A ceci s’ajoute la distribution de 333 sacs de riz, 333 sacs de mil, 333 cartons d’huile, 333 sacs de sucre, 333 sac de laits et a remis un chèque de 10 millions de francs CFA au Coren soit 41 millions de francs Cfa, pour honorer et respecter la symbolique de Tombouctou, ville des 333 Saints. Ce, après la destruction par les djihahistes des Mausolées.
Derrière cette cabale, la société étrangère Pearl Gold qui n’est aujourd’hui actionnaire de la mine qu’à hauteur de 25%. Elle ne cherche en fait qu’à contrôler la mine de notre compatriote Aliou Boubacar Diallo qui du reste, a su verrouiller le capital de la mine en restant toujours actionnaire majoritaire avec 54,24%.
Les dirigeants de Pearl Gold : Reza Pacha, Robert Gonino et leur conseiller occulte Lutz Arthman avec son destin de feuille morte alimente cette cabale contre notre compatriote.
Ce qui est sûr, c’est que Aliou Boubacar Diallo a fait fortune avant de se lancer dans les mines, à travers Wassoul’Or.
Qui veut donc abattre ce puissant opérateur économique ?
Correspondance particulière
source : Progrès
