Au moment des frappes, aucun patient, ni soignant ne se trouvait dans le centre contre le cancer. Mais l’hôpital ophtalmologique, lui, abritait des patients au nombre non précisé. « Nous avons passé toute la nuit dans la cave, tout tremblait, les patients étaient terrifiés », a indiqué sa directrice, Kasimira Rilkova.