Bamako a abrité une sortie du peuple à l’endroit de l’armée. Seulement , ce genre de tribune met à mal l’image de la France qui , en cas de retrait ,permettra aux terroristes de finir ce qu’ils avaient commencé depuis la marche de Konna en 2013.
Face aux attaques meurtrières contre les FAMAs , la population s’est mobilisée dans les rue de Bamako. S’il y a eu des déclarations de soutien voire d’amour pour notre armée nationale , une chose est à condamner : la profanations de symboles de pays soutenant notre pacification. Allusion est faite à la France où son drapeau fut piétiné, déchiré voire brûlé. S’il est vrai que ce sentiment de rejet n’est pas nouveau , une condamnation des auteurs de la manifestation était indiquée.
Force est de constater qu’elle fait l’affaire de tous surtout qu’il s’agit bien d’une connexion entre politiciens et syndicalistes. Autrement dit , un couple parfait qui au nom des frustrations et de la récupération donne naissance au populisme.
RETROUVEZ L’INTÉGRALITÉ DE L’ARTICLE DANS LA PARUTION DU MARDI 19 NOVEMBRE 2019
Par BAMOISA
Source : Nouvel Horizon