Le samedi 13 février dernier, la Commission Nationale d’Organisation du Sommet Afrique-France (CNOSAF) a tenu un atelier de travail à son siège sis à Hamdallaye ACI 2000. En toile de fond, la validation de la stratégie de communication du Sommet Afrique-France, prévu à Bamako en janvier 2017.
Composée entre autres, des membres de la société civile, du Gouvernement à travers le Ministère de l’Economie Numérique, de l’Information et de la Communication, des professionnels du secteur de la Communication, représentés par le GPAC (Groupement Professionnel des Agences de Communication), la Commission Nationale d’Organisation du Sommet Afrique-France (CNOSAF), a tenu, le samedi 13 février, à son siège sis à Hamdallaye ACI 2000, un atelier de travail. Avec pour objectifs de valider un document consensuel de stratégie de communication autour du sommet, de doter la commission média d’un plan de communication et du budget y afférent et de dégager les voies et moyens (humains et matériels, financiers) d’exécution de ce plan de communication.
D’entrée de jeu, le président de la CNOSAF, Abdoulaye Coulibaly, a précisé que la réussite de la 27ème édition du Sommet Afrique-France prévue à Bamako en janvier 2017 repose sur une bonne stratégie de communication. L’union faisant la force, le président de la CNOSAF a mis à l’aise les autres membres de la commission en leur demandant de faire toute proposition pouvant contribuer à rehausser l’éclat du sommet.
« C’est un honneur pour le Mali de recevoir l’Afrique et la France à travers l’organisation d’un sommet de haut niveau. Et notre rôle consiste à mettre tout en œuvre afin que le Mali réussisse ce pari », dit-il.
Pour lui, il est important de créer un cadre efficace de transmission et de relais des objectifs ou des messages y afférents à l’endroit des cibles maliennes, africaines, françaises et mondiales. Raison pour laquelle, soutient-il, le schéma de création du comité en charge de l’organisation du 27ème Sommet Afrique-France intègre en bonne place, une commission média chargée d’élaborer et de mettre en œuvre une stratégie et un plan de communication pour accompagner les attentes du sommet.
Prenant la parole, le représentant du ministre de l’Economie Numérique, de l’Information et de la Communication, Idrissa Maïga, a rassuré le président de la CNOSAF que le département est entièrement disposé à soutenir la CNOSAF dans ses efforts.
Le président du GPAC (Groupement Professionnel des Agences de Communication), Moustapha Diop, a, pour sa part, précisé que pour aboutir à un meilleur résultat, chaque membre de la CNOSAF doit se limiter uniquement à son domaine de compétence pour ne pas empiéter sur le domaine d’un autre.
Une franchise saluée et appuyée par le président de la CNOSAF, Abdoulaye Coulibaly.
Lassina NIANGALY
Source: Tjikan
