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Soloni se rappelle : Installation du chef de file de l’opposition : que l’on se détrompe !

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La démocratie est  plus une question de comportements d’homme que d’institutions pour les hommes. Culturellement qu’avons-nous à apprendre  de cette démocratie à l’occidentale qui  nous conduit à être étrangers à nous-mêmes ? La preuve de l’impertinence de cette forme de démocratie n’est-elle pas suffisante ? Regardons  comment tous ces pays, qui ont adopté la forme  démocratique selon le modèle occidental « parti majoritaire, parti d’opposition », et que sais-je encore, sont dans la merde aujourd’hui en termes de gouvernance ? Dans la charte de Kurukanfuga l’article 1 stipule : «la société du grand mandé est divisée en seize (16) porteurs de carquois, cinq (5) classes de marabouts, quatre classes de nyamakalas. Chacun de ces groupes a une activité et un rôle spécifique ». A l’article  42 nous lisons ce qui suit : « Dans les grandes assemblées, contentez-vous de vos légitimes représentants et tolérez-vous les uns les autres ». Avec ces dispositions qu’avons-nous  encore  à nous  embourber dans un autre système de gouvernance complètement étranger à nos valeurs ? D’ailleurs quel est le contenu culturel de l’opposition ? Quelle est la pertinence culturelle d’instituer un chef de file de l’opposition ? La réflexion doit continuer.

JD

 

Source:  SOLONI

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