Les deux grosses pointures du rap malien sont en froid. Le monde du spectacle n’est pas resté les bras croisés. Depuis quelques jours, les griots fidèles à la perpétuation de l’héritage de leurs prédécesseurs, tentent de recoudre les morceaux. La semaine dernière, ils ont pris langue avec le monstre de la kora, Toumani Diabaté, auteur de la vie de Sidiki Diabaté.
Le contexte marqué par la mort lente de l’industrie du concert, donc très calme du point de vue production de spectacle en raison de la pandémie du coronavirus, est propice aux bons offices. Ailleurs, les fans obligent les artistes à faire la paix sous peine de boycotter leurs concerts et œuvres musicales.
La Rédaction
Source: L’Informateur- Mali