Les membres du réseau Attelagir ont organisés une journée de sensibilisation sur le planning familial et l’espacement des enfants, c’était le 15 Octobre 2016 au centre culturel de Hamdallaye. La cérémonie était sous le haut parrainage de Mme Keita Aminata Maiga, en présence président de l’Attelagir M Amadou Koné.planing
Créé il y-a de cela quelques années, le réseau Attel agir œuvre pour les activités de développement et de bien-être de la population malienne. De sa création à aujourd’hui, l’association s’est fait distinguer par sa capacité de mobilisation et de rassemblement de la jeunesse malienne autour de différents thèmes qu’elle aborde. En 2013, l’Attelagira mener des activités de sensibilisation auprès des jeunes pour l’Union sacrée autour du président IBK ; elle a également participé à l’organisation de la première édition du marathon de la paix.
Aujourd’hui, ‘’ATTELAGIR’’ a décidé de jouer sa partition pour mettre fin aux grossesses et mariages précoces, d’où l’organisation de cette journée.
Le président de l’ATTELAGIR France-Mali M Amadou Koné dira que cette journée s’inscrit dans le cadre du développement de la solidarité et de l’humanisme dans notre pays afin de réveiller la conscience des uns et des autres pour protéger la famille malienne.
Selon le thème de cette journée : sensibilisation sur le planning familial et l’espacement des naissances, permet aux jeunes de mieux connaitre les avantages et inconvénients du thème.
Pour sa part, la représentante du ministre de la santé et de l’hygiène publique Mme Maiga soulignera que l’organisation de cette journée permet d’enlever une épine du pied du ministre qui ne ménage aucun effort pour mettre fin à cette pratique. Pour elle, si les jeunes et les femmes s’impliquent, l’objectif sera atteint.
Au cours de cette journée, Dr Diarra et Dr Aissata ont édifié l’assistance sur les thèmes. Selon eux de 2012 à 2013, 10/100 des femmes respectaient les règles du planning familial au Mali. Pour eux le sujet ne doit plus être un tabou, les parents, les enseignants, les associations de la société civile et même politiques devront tous s’impliquer davantage pour sauver les enfants qui sont l’avenir du pays.
Diam Wagué
Source: la sirène