Le vendredi 25 Mars dernier, La conférence des chefs d’états et de gouvernements de la Communauté économique des états de l’Afrique de l’ouest (CEDEAO) a tenu un sommet extraordinaire sur la situation au Mali, en Guinée Conakry et au Burkina Faso.
Suite à la visite du médiateur Goodluck Jonathan au Mali ou les autorités maliennes ont proposé une prolongation de 24 supplémentaires contre 12 à 16 Mois pour la CEDEAO , l’annonce de ce sommet a été perçue comme un espoir pour la levée de l’embargo qui pèse sur notre pays depuis bientôt trois mois. Pour l’occasion, l’organisation sous régionale a expressément invité le chef de l’état, le Colonel Assimi Goïta à prendre part aux travaux. Cette invitation, peu fréquente à l’endroit d’un président putschiste laissait entrevoir une lueur d’espoir afin que ce dernier ait l’opportunité de s’exprimer et de donner les raisons valables pour une levée de l’embargo. Contre toute attente, à la veille de ce sommet, le chef de l’état , Colonel Assimi Goïta refuse d’y prendre physiquement part, mais exprime tout de même sa « disponibilité à interagir avec ses pairs par visioconférence » et décide d’ envoyer une délégation ministérielle, chargée de le représenter, ce que n’a pas été (…)
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AWA CHOUAIDOU TRAORE
Source : NOUVEL HORIZON