Depuis le 1er mars 2021, les conducteurs routiers ont du mal à accepter l’application du Règlement 14 de l’UEMOA. Ils observent pour la troisième fois, un arrêt de travail consistant à paralyser toutes les activités de transports en commun dans la capitale.
Bien que le Gouvernement ait montré sa souplesse pour ce qui est de la catégorie des « SOTRAMAS » un compromis reste difficile à trouver. En effet, un montant forfaitaire de 2000 FCFA par jour est accordé aux « SOTTRAMA », qui payaient 1000 FCFA avant.
Mais pour les camions-bennes et les autres usagers, la redevance péage reste obligatoire par passage. L’arrêt de travail de ce mardi 9 mars est un préambule à la grève de 72 heures prévue à partir du 23 mars.
Pour le département chargé des Transports et des Infrastructures, cette mesure participe à la recherche de fonds pour financer l’entretien routier.
Andiè A. DARA.
Source: Bamakonews