Après deux années d’une crise politique ouverte en décembre 2016, la RDC renoue avec les urnes. Sans Étienne Tshisekedi, Moïse Katumbi ni Jean-Pierre Bemba, mais avec un dauphin présidentiel, un opposant qui a failli être unique et un fils bien décidé à accomplir le rêve de son défunt père…
À la veille de la présidentielle en République démocratique du Congo, des analystes insistent sur le poids de l’appartenance linguistique dans le vote des Congolais. Une thèse à manier avec beaucoup de prudence, préviennent Josaphat Musamba Bussy, ancien employé congolais du Groupe d’experts des Nations unies pour la RDC et Joël Baraka Akilimali, doctorant en Sciences politiques et sociales.
JA