Hillary Clinton a manqué de peu de s’écrouler lors d’une cérémonie commémorative des attentats 11 septembre 2016.
Il a fallu de peu pour que la candidate des Démocrates à la Maison Blanche se retrouve face contre terre. Elle a dû son salut à la vigilance de son entourage qui l’a promptement maintenue debout. Après, le malaise la concurrente de Donald Trump à la Maison Blanche a immédiatement quitté la cérémonie.
Plus tard son staff de campagne produira un communiqué dans lequel il explique clairement que Mme Clinton souffre d’une pneumonie.
Empoissonnement
Mais quelque jours après cet incident, Bennet Omalu, un célèbre médecin aux États-Unis, met en garde contre un empoisonnement organisé par Vladimir Poutine. Sur Twitter, le célèbre neuropathologiste pour avoir démontré la dangerosité des chocs pour les footballeurs américains et avoir fait plier la puissante fédération de ce sport, croit qu’Hillary Clinton a pu être la victime d’un empoisonnement.
Analyse toxicologique
“Je conseille à l’équipe de la campagne Clinton de demander une analyse toxicologique du sang de Mme Clinton.
Il est possible qu’elle ait été empoisonnée. Je n’ai confiance ni en M. Poutine, ni en M. Trump. Avec ces deux, tout est possible”, avoue Bennet Omalu dans des propos rapportés par The Sun.
Poutine déjà soupçonné d’empoisonnement
Vladimire Poutine a déjà été accusé d’avoir approuvé un empoisonnement. Alexandre Litvinenko, un des opposants du président russe, avait été tué en 2006. En janvier dernier, une enquête menée par un juge britannique est parvenue à la conclusion que le président russe avait “probablement approuvé” l’opération qui a mené à la mort d’Alexandre Litvinenko. Ce dernier enquêtait sur les liens entre Vladimir Poutine et le crime organisé.
Dimanche passé, Hillary Clinton a fait un malaise. La candidate démocrate a avoué souffrir d’une pneumonie, une maladie causée par un virus ou une bactérie et qui l’a contrainte à annuler plusieurs déplacements de campagne.