L’Adema Pasj entendons-nous tous les jours que Dieu fait, de la bouche des grands connaisseurs, a son candidat, le meilleur d’entre tous. Kassoum Issa Tapo, membre du CE, chargé des questions juridiques et judiciaires, 4e vice – président de l’AN.
Me Kassoum Tapo
Les abeilles étant ce qu’elles sont depuis des lustres, sont capables du meilleur comme du pire. Et dans le cas de l’espèce, le mauvais argument que certains brandissent déjà a malheureusement trait à la vieille et honteuse chanson. Militant de première heure, militant récent. Voilà le genre de langage à la limite du ridicule qui finira par détruire définitivement le parti du président Abdourahamane Baba Touré
Comme pour vouer aux gémonies ces inepties propres à certaines abeilles connues pour leur propension à faire de la ruche leur absolue propriété, le président de l’URD, l’honorable Younoussi Touré, il n’ya pas longtemps affirmait ceci haut et fort « …A l’URD, il n’ya pas de militantes ou militants de première ou vingt cinquième heure. Tous sont égaux en droit et devoir au sein du parti de la Fraternité. » C’était à l’occasion de la cérémonie de réception des transfuges venus de certains partis politiques.
La remarque mise au point a tout droit d’être enseigné à l’école des cèdres du parti Adema. Du président IBK au président Kassoum Tapo, il n y a pas de cadre Adema, soupçonnés de vouloir affirmer son punch, qui n’a pas été taxé de militant de la 25e heure. A leurs yeux tous ceux qui n’étaient pas là, à l’occasion de la constitution du parti, ne sont pas dignes de prétentions, de saines prétentions. Comme si, tout le monde peut venir ensemble, au même moment, au même lieu, pour la même chose.
La leçon du président Touré de l’URD a été interprétée comme une magistrale leçon de sagesse à l’endroit de certains barons Adema.
Craignant la force de pénétration et la grande détermination de l’honorable Bâtonnier, Me Kassoum Issa Tapo, cadre Adema inscrit sur la liste des partants à la candidature, des esprits chagrins et rétrogrades ont vite fait d’entonner leurs piètres vouvouzela. Mauvais apprentis, le son a agacé, choqué pour finir là où, tout le monde l’attendait. Les oubliettes.
L’honorable Kassoum Issa Tapo, celui là même que le parti Adema avait courtisé et supplié pour porter ses gants dans la perspective d’affronter IBK dans la bataille du perchoir, 11 ans après revient. Il veut l’onction de son parti pour donner à notre pays, une nouvelle chance, un nouveau départ.
Il a avec lui, l’essentiel de l’arsenal et personne mieux que lui, ne peut dans cette ruche en déconfiture, défendre les couleurs des abeilles avec sérieux et conviction. A Suivre
Sory de Motti