C’est unanimement accepté que les travaux de l’AG du 8 Octobre 2017 aient été suspendus et remis au lendemain 9 Octobre 2017 à midi.
Et c’est n’est pas du bon vouloir du CE de la FEMAFOOT que la propriétaire des locaux du gouvernorat ait demandé de choisir un autre lieu.
Il faut donc juste se baser sur deux articles de nos statuts pour savoir que les travaux du 9 Octobre 2017 ne doivent souffrir d’aucune contestation.
Article 30.2 : Le Comite Exécutif de la FEMAFOOT choisit le lieu et la date de l’AG (fin de citation, donc pas une AG qui décide)
Article 115 : Le Comité Exécutif prend UNE DÉCISION qui S’IMPOSE à tous les membres de la FEMAFOOT sur tous les cas non prévus dans les statuts et en en cas de force majeure (fin de citation, l’acte du gouverneur est-il un cas prévu dans nos textes ou une force majeure)
Maintenant, au sujet de la non réception des invitations, par le collectif des 18 votants, le 9 Octobre, alors que les trois ligues du nord logeaient à l’Hôtel où a été délocalisée la séance de travail et des huissiers au gouvernorat pour les délégués de Bamako, je vous demande, comme pièce à conviction, de lire l’article du journal officiel du Mali (L’ESSOR) en date du Mardi 10 Octobre où un compte rendu fidèle est fait de la conférence de presse du collectif tenu le lundi 9 Octobre à 10 heures, compte rendu qui disait officiellement : “Nous ne participerons plus à aucune séance de travail de l’AG de la FEMAFOOT”. Sinon, la présence du Directeur National des Sports Adjoint (à gauche de Baba Diarra ici) pour la reprise des travaux est un témoignage éloquent du partage des invitations.
Moustaph Maiga sur sa page facebook
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