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Parlement malien: des candidats poids plume pour le perchoir

Ils seraient nombreux à se présenter comme candidat au perchoir. Des candidats sans grande envergure: Issaka Sidibé, député élu à Koulikoro, président sortant (2014-2020), Sidiki N’Fa Konaté, député élu à Kolondiéba, tous du Rassemblement Pour le Mali (RPM); l’ancien Premier ministre, Moussa Mara, député élu en Commune IV, président du Parti YÈLÈMA.

Lutte contre le Coronavirus: la presse malienne, le dindon de la farce ?

Sous Ibrahim Boubacar Keïta, la presse malienne n’est jamais associée aux problèmes de la nation. Coronavirus tue et nourrit une partie du gouvernement. Plus de 100 milliards de nos francs seraient mis à la disposition du ministère de la Santé et des Affaires sociales pour combattre le mal. Mais où est la part de la presse malienne pour la sensibilisation ?

POINT DE MIRE

Le loisir est né

Depuis cent ans, le loisir est né, a grandi, s’est valorisé. Il est en pleine expansion. Quand la misère, la maladie, l’ignorance limitent sa pratique, il est présent comme un besoin impérieux, une valeur latente en tous lieux, surtout dans les jeunes générations. Dans les sociétés industrialisées, phénomène de classe au XIXème siècle, il tend à devenir un phénomène de masse au XXème siècle.

Il n’est pas un produit secondaire mais central de la civilisation actuelle. Avec l’accroissement du revenu individuel, l’augmentation du temps libre constitue peut-être la perspective fondamentale pour la majorité des hommes. Le travail n’est pas vécu comme une fin, mais comme un moyen.

Cependant, les nations modernes n’ont pas encore pris conscience du problème général du loisir. Les loisirs sont encore vécus par morceaux sous la forme d’activités diverses qui empêchent d’analyser leur interdépendance et d’aménager leur équilibre dans un style de vie.

Tour à tour le loisir est vacances ou travaux volontaires, farniente ou sport, plaisirs gastronomiques ou divertissements musicaux, jeux d’amour ou de hasard, lecture du journal ou étude d’un chef-d’œuvre, bavardage ou cercle culturel, violon d’Ingres ou animation d’une société, etc.

Pourtant, toutes ces activités de loisirs sont circonscrites dans le même temps libre, elles n’ont aucun caractère de nécessité ni d’obligation. Elles ne visent pas à rapporter de l’argent, elles sont en marge des devoirs familiaux, sociaux, politiques ou religieux. Elles sont désintéressées. Elles sont entreprises librement pour apporter une satisfaction à leurs auteurs. Elles ont le plus souvent leurs propres fins en elles-mêmes.

SAGESSE BAMBARA:

«Celui qui est maudit par son père n’obtient rien sur terre; celui qui est béni par son père obtient tout ce qu’il désire.»

ELLE A DIT:

«La coopération étant la fille de la nécessité, il appartient à vous paysans de vous regrouper, vous qui avez les mêmes besoins et les mêmes intérêts afin de pouvoir résoudre vos propres problèmes par le biais de la coopération. Vous devenez ainsi les véritables responsables de tous les projets que vous voulez entreprendre dans vos villages. Bref, la coopération permet de vous entraider, de vous organiser et de modifier fondamentalement votre mode de vie.»

Marie Angélique Savané, Sociologue

 Inter de Bamako 

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