Suite à la formation du nouveau Gouvernement de la transition de notre pays, le Bureau exécutif du Conseil Supérieur de la Diaspora Malienne (CSDM) a tenu, le 7 septembre dernier, un point de presse pour non seulement dénoncer la marginalisation des Maliens de la diaspora dans le gouvernement mais aussi, réclamer une grande prise en compte dans l’organisation législative prochaine.
La rencontre a été présidée par Mohamed Chérif Haidara, président du Conseil Supérieur de la Diaspora Malienne (CSDM), en présence des hommes de médias et plusieurs autres invités. Dans leur déclaration, les conférenciers ont rappelé que
« suite à la formation du gouvernement de Transition, le Bureau exécutif du Conseil Supérieur de la Diaspora Malienne s’est réuni, le mardi 6 octobre dernier, afin d’analyser la situation socio-politique d’ensemble et particulièrement, la décision des autorités de la transition d’ignorer la présence des Maliens de la Diaspora dans le gouvernement de transition. Toute chose, que le Bureau exécutif du CSDM déplore et qualifie cette décision comme étant une mesure de discrimination frappant plus de 6.000.000 de compatriotes de la Diaspora. »
D’ailleurs, disent-ils, « le CSDM a mené des actions au nom de la Diaspora malienne pendant la transition. Il s’agit notamment de leur participation au Dialogue National Inclusif (DNI), négociation avec la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) dans le contexte de soulèvement populaire et la concertation nationale des 10, 11 et 12 septembre dernier.
À cela s’ajoutent la facilitation pour le rapprochement entre la Coordination des Mouvements de l’Azawad (CMA) et les autorités de la transition, participation du président du CSDM au collège de désignation du président et du vice-président de la transitons au nom de la diaspora malienne, ont-ils ajouté.
Toutefois, (…)
RETROUVEZ L’INTEGRALITE DE L’ARTICLE DANS LA PARUTION DU JEUDI 08 OCTOBRE 2020
Abdoul Karim SANOGO
NOUVEL HORIZON