Après l’attentat, le gouvernement malien et la communauté internationale ont intensifié les pressions sur la rébellion à dominante touareg, pour faire la paix afin de priver les djihadistes de tout soutien ou sanctuaire dans le Nord.
La rébellion à dominante touareg du nord du pays poursuivait ses discussions sur l’accord de paix d’Alger, sous intense pression internationale pour le signer afin d’isoler définitivement les djihadistes, tels ceux qui ont revendiqué l’attentat. Le gouvernement a déjà paraphé le texte.
Cette réunion commencée mercredi à Kidal, bastion de la rébellion (environ 1.500 km au nord-est de Bamako), devrait se prolonger jusqu’à samedi.
Source: lesoir.be