Au Mali, la commission d’enquête parlementaire, chargée de faire la lumière sur les événements de Kidal de 2014, a récemment rendu un rapport, qui met en cause Moussa Mara, l’ancien Premier ministre, selon la presse malienne.
Sa visite dans la ville du nord du Mali, le 17 mai 2014, alors qu’il était chef du gouvernement, avait entraîné une réaction violente des groupes rebelles. Plusieurs dizaines de personnes avaient été tuées au cours de cette visite et de l’offensive ratée de l’armée qui suivit. Moussa Mara, leader du parti Yelema, qui publie « Jeunesse Africaine » aux éditions Mareuil, est l’invité de RFI.
« Je suis serein… 2018, c’est dans deux ans, c’est loin. Beaucoup d’eau couleront sous le pont d’ici là. Ma préoccupation principale aujourd’hui c’est de m’inscrire dans le processus des élections locales. Je suis candidat pour être maire du district de Bamako. »
Source : RFI