Les récentes révélations des écoutes téléphoniques du président IBK, d’Ali Bongo et de Tomi par Mediapart, montre à suffisance que le véritable ennemi de la paix au Mali est la France de François Hollande qui, à chaque sortie remarquable du président IBK, trouve des épines pour ralentir ses ardeurs et ceux du peuple malien. Cette fois, le peuple soutient et reste souder derrière son président, pour vaincre les démons de la division de notre cher Maliba.
Pour rappel, le discours de fermeté prononcé par IBK pour recadrer Hervé Ladsous et les Nations-Unies, a été très mal avalé par les Occidentaux. «Nous sommes une vieille civilisation. Le Mali ne demande que son dû, ni plus ni moins», avait martelé IBK lors de la cérémonie de signature de l’accord pour la paix et la réconciliation le 15 mai dernier à Bamako. Se sentant vexée, la France a trouvé le moyen de porter atteinte à l’honneur du président malien à travers sa presse propagandiste, Mediapart.
Le Malien, depuis la nuit des temps, a ce sentiment nationaliste et rien ne pourra nous dérouter, pour l’amour de notre Patrie, notre cher «Maliba». Le fait par la France de jeter chaque fois des épines sous les pieds du président IBK, par la diffusion des articles par ses médias de propagande sur les relations du président avec Tomi, pour l’affaiblir et le rendre vulnérable, n’entamera en rien de la détermination des Maliens à soutenir leur président.
À travers leurs différentes agitations pour affaiblir le président IBK, le peuple malien a compris que la France de Hollande, en plus de soutenir les narco-jihadistes du Mnla qui écument le Nord du Mali en volant et tuant les paisibles populations, veut créer le désordre au Sud pour rendre le pays ingouvernable. Ces articles relayés par le journal «Le Monde» et cette fois-ci «Mediapart» sont de nature à rendre le président IBK impopulaire et permettre à ce que le désordre s’installe au Sud afin de mieux mettre en œuvre leur satanique désir de diviser le Mali.
Les médias français (RFI et France 24), en ouvrant des tribunes pour le Mnla au sein de leurs rédactions respectives, ont largement contribué à faire la part belle à ces bandits en diffusant des informations nuisibles. Aujourd’hui, ces médias de propagande ont un autre terme pour plus diviser le Mali, en qualifiant la Coordination des mouvements de l’Azawad (Cma) de «rébellion à dominante touareg» et le Gatia, d’une «milice pro-Bamako». La France et ses médias de propagande oublient que le peuple malien n’est pas dupe et ne tombera jamais dans leur jeu. Comme fut le cas au Rwanda !
Le BORGNE
Source: L’Oeil du Mali