e Syndicat des employés de la Sotelma-Sa se dit indigné et abasourdi par les propos tenus par le Sieur Daouda Traoré à son encontre et à l’égard de son secrétaire général dans un organe de la place. Le syndicat des employés de la Sotelma-Sa affirme qu’il a toujours évité de porter le différend qui l’oppose à M. Traoré dans la presse privée et qu’il a toujours souhaité géré les problèmes à l’interne, mais puisque M. Traoré se prête à ce jeu macabre, qui certainement permettra d’éclaircir l’opinion publique, nous sommes d’accord et chacun n’a qu’à apporter ses preuves. La presse se frottera indéniablement les mains car nous aurons beaucoup de choses à étaler de façon indubitable.
Pourtant c’est bien M. Traoré et son Syndicat par le biais de son sinistre directeur de campagne qui ont demandé et obtenu auprès de la Direction Générale de la Sotelma-SA la censure de la messagerie interne, afin d’éviter la publication de la preuve palpable de leur malversation, même si eux-mêmes n’ont jamais respecté cette décision dûment signée de la part du Directeur Général.
Traoré affirme que c’est l’ancienne Direction qui a créé notre Syndicat, nous lui répondons qu’il souffre certainement d’une paranoïa. Nous n’avons jamais eu plus de difficulté d’existence qu’au moment de la gestion de l’ancienne Direction dont il paraît que son DAF partageait même la piscine lors des week-end avec certains responsables du Syndicat de M. Daouda Traoré qui s’attaque à nous.
Notre Syndicat est le fruit d’une longue et mûre réflexion, il a été créé pour mettre fin au système de copinage instauré entre lui et ses anciens bienfaiteurs qu’il livre à la vindicte populaire aujourd’hui. Notre syndicat est né pour mettre un frein à la recherche effrénée de l’argent instituée par M. Daouda Traoré par tous les moyens ; jamais dans l’histoire du syndicalisme le mensonge, le vol, le copinage et la collision entre la Direction Générale et un syndicat n’ont atteint un niveau catastrophique et inquiétant du temps de l’ancienne Direction qu’il charge aujourd’hui après avoir fait la pluie et le beau temps avec eux.
Jamais dans l’histoire du Syndicalisme à la Sotelma l’argent n’a coulé dans les veines des Syndicalistes dirigés par M. Traoré et sa bande et le vol érigé comme mode de gestion et de revendication syndicaliste. Nous nous posons la question : quelle époque ce Monsieur vit encore ? Car pour lui le pluralisme syndical est la fin du syndicalisme à la Sotelma-Sa. M. Traoré vit encore certainement l’époque de la dictature où le multipartisme et le pluralisme étaient interdits. Il peut continuer à dessiner, à se dessiner et à vivre dans son rêve qui consiste à ignorer les autres pour mieux exister.
Comme d’habitude son allié de circonstance Sayon Doumbia n’est toujours pas épargné. Dans son mensonge il affirme que le syndicat de ce Monsieur a été créé en 2015. Même quand tu n’es pas fidèle avec ton complice, tu dois être au moins honnête, le syndicat de ton nouvel allié de chèques a été créé en 2012, pendant ce temps M. Morchid et son DAF, le financier de vos basses besognes n’étaient pas aux commandes, alors un peu de retenue à l’égard de ton ancien ennemi (Sayon Doumbia) avec lequel tu partages l’argent des innocents aujourd’hui. M. Traoré dans la recherche effrénée de l’argent et dans sa boulimie, peut-il expliquer à l’opinion pourquoi il est parti à la BDM-SA pour endetter les travailleurs de la Sotelma-Sa à hauteur d’une somme largement supérieure à celle nécessaire pour payer les actions et les autres droits ? M. Traoré peut-il expliquer pourquoi des vieux retraités ne sont pas encore entrés en possession de leur dû malgré les différentes interventions depuis 2016 ?
Aujourd’hui le dossier pend devant les tribunaux pour que lui et ses acolytes particulièrement Issa Younoussa l’homme au stylo en or puissent apporter les réponses nécessaires à leur forfait. Que M. Traoré sache une fois pour toute, que notre syndicat a été créé pour empêcher le vol et la spéculation financière qu’il a érigés en empire comme mode de gouvernance syndicale à la Sotelma-Sa. L’octroi de chèques (l’argent des travailleurs) à ses camarades et à ses fidèles est son jeu favori pour mettre tout le monde à son service. Mais nous le comprenons, car ses propres camarades souffrent de ses coups de foudre et de nervosité qui n’épargnent personne et tous les membres de son syndicat sont obligés de se soumettre à ses desideratas car c’est lui qui détient le chéquier.
Quand M. Traoré s’en prend à l’ancienne équipe nous lui disons bravo, sinon pourquoi il n’a pas publié cet article au moment de la gouvernance de celle-ci ? Sachant bien que manifestement cet article doit être ancien, mais sorti des tiroirs pour être réchauffé et actualisé. C’est parce que tout simplement la connivence et la complicité qui existaient entre le Syndicat qu’il dirige et l’ancienne Direction a atteint un seuil jamais égalé où ils fréquentaient les mêmes boîtes et les mêmes lieux de causerie.
Quand M. Traoré affirme une fraude fiscale de 4 milliards à la Sotelma-Sa pourquoi attend-il le départ de ceux-ci pour publier un tel article ? Il est certainement dans le secret de ses camarades. Ton sinistre et thuriféraire directeur de campagne n’était-il pas la cheville ouvrière et l’homme de confiance de l’ancienne Direction ? Lors de la cérémonie d’adieu organisée par M. Morchid à l’hôtel Radisson où étais-tu quand ton Directeur de campagne devant des travailleurs stupéfaits et médusés a pris la parole dans ses habits de Balla Fassaké pour magnifier et vivifier l’action de M. Morchid et son équipe ? Ton directeur ne criait-il pas à s’égosiller pour se faire entendre dans le brouhaha et l’incompréhension totale des travailleurs ? M. Daouda Traoré, n’as-tu pas applaudi à te casser les doigts ce jour ?
Traoré, peux-tu nous dire combien l’ancienne Direction t’a gratifié lors de ton mariage au parc national ? Ce mariage digne d’un jeune prince saoudien ou qatari a été caractérisé de mariage de l’année 2015, où lui et ses sbires n’ont pas lésiné sur les moyens en mettant à contribution les amis de la Direction Générale qu’il qualifie aujourd’hui de tous les péchés d’Israël. Du gâteau de 100 kg et 2 m de hauteur, au tapis rouge de 5 Km, peux-tu nous dire la source du financement de ce faste, digne d’un certain Mobutu Sesseko ?
Quand M. Traoré parle du bâtiment que la Sotelma-Sa a pris en bail à l’ACI 2000, nous lui faisons un rappel pour chauffer son esprit constipé par la haine, que c’est bien son Syndicat qui a cautionné ce dossier en complicité avec l’ancienne Direction. Son syndicat a bel et bien participé à la réunion tenue le 8 avril 2016 en présence de ses anciens bienfaiteurs et ils ont donné leur aval. M. Traoré peut continuer à prendre une vessie pour des lanternes mais l’immense majorité des travailleurs dont il se targue aujourd’hui connaît son comportement et celui de ses amis chéquiers. Pourquoi n’a-t-il pas dénoncé l’ancien PCA au moment de sa gestion s’il a les preuves de ce qu’il avance ?
C’est véritablement un aveugle qui discute de couleur qui dirige ce syndicat. M. Traoré dans sa furie et son amalgame d’amateurisme, comme un éléphant dans un magasin de porcelaines, s’en prend à tout le monde, il pense en parfait dictateur, qu’il est le seul bon, le seul innocent, le seul visionnaire et que les autres ne sont que des crépins. Il peut continuer à s’éclairer à l’illusion et à boire à la fontaine de la démagogie en pensant que les travailleurs lui font confiance. Ceux qui te font confiance sont ceux-là qui ont bénéficié de tes largesses lors du partage clandestin des chèques (l’argent des travailleurs) attribués à tour de bras.
Nous pensons que si M. Traoré a une once de dignité, il aurait certainement évité de s’attaquer à notre Syndicat, car les casseroles qu’il traîne font trop de bruit et dérangent vraisemblablement la clientèle de la Sotelma qui mérite respect et considération. Et pour couronner le tout, comme le ridicule ne tue plus, il se propose d’être maintenant le représentant des travailleurs de la Sotelma-Sa au conseil d’administration après une élection, pardon une primaire organisée dans son camp car ne sachant plus différencier les deux mots. Nous répondrons à tous les mensonges et contrevérités de ce Monsieur, imbu de sa personne et qui n’a aucun respect pour les autres. Plus rien ne sera comme avant.
Le Syndicat des Employés de la Sotelma-Sa