Les dirigeants du Barça travaillent déjà sur le mercato hivernal. Deux noms seraient sur les tablettes dans le sens des arrivées : Inigo Martinez (Athletic Bilbao) et Edson Alvarez (Ajax Amsterdam). Xavi aurait également demandé à ses employeurs de clarifier l’avenir d’Ousmane Dembélé en lui proposant un nouveau contrat.
Les décideurs catalans ont déjà dressé les profils des recrues susceptibles d’améliorer le groupe de Xavi. Le nom d’Inigo Martinez revient depuis l’été dernier. Âgé de 31 ans, le Basque constituerait l’une des priorités pour faire progresser le rendement de l’arrière-garde catalane. Selon Fichajes, des négociations pourraient être bientôt ouvertes entre l’Athletic Bilbao et le Barça, en vue d’un possible transfert. Ses dirigeants attendraient environ 15 millions d’euros pour le laisser partir. Une somme que pourraient se permettre de dépenser les Catalans.
Edson Alvarez trop cher pour les finances du Barça ?
Edson Alvarez figurerait aussi sur la short-list des dirigeants blaugranas. Selon Sport, Xavi et Joan Laporta voient en lui le successeur de Sergio Busquets. Convoité par Chelsea, l’été dernier, le joueur est finalement demeuré en Eredivisie, mais son cas devrait à nouveau faire parler, en janvier. L’Ajax Amsterdam attendrait 50 millions d’euros pour le laisser partir, ce qui pourrait poser des problèmes aux Barcelonais. La piste Ruben Neves (Wolves) serait pour l’instant privilégiée, à son poste.
Le cas Ousmane Dembélé continue de faire parler, dans la ville espagnole. L’attaquant français a retrouvé son meilleur niveau et affiche une régularité qui séduit le staff et les supporters. Seul souci, le nouveau contrat qu’il a signé ne porte que jusqu’en 2024. Ce qui induit que le feuilleton lié à son avenir pourrait bientôt redémarrer. D’après le journaliste Fabrizio Romano, Xavi a demandé à ses dirigeants de rapidement reprendre les discussions pour s’assurer que le joueur puisse prolonger son engagement.
Le Barça devrait à nouveau être actif, durant le mercato hivernal. Il reste à voir si ses dirigeants prendront tous les risques en puisant dans le matelas financier constitué avec les leviers, l’été dernier, ou s’ils opteront pour des pistes moins onéreuses.