Une année après l’attentat contre le Mécanisme opérationnel de coordination (MOC) à Gao, ce dispositif clé de l’accord de paix peine à se relever. L’attentat suicide a causé plus de 50 morts, mais les combattants ne sont toujours pas dotés d’armements lourds pour assurer la sécurité du camp et de la population civile. Les précisions du Général de brigade Mamadou Idrissa Coulibally
La rédaction