Nous donner quelques jours de repos, de réflexion et d’auto-évaluation du chemin parcouru, telle est la raison pour laquelle cette édition de 26 Mars, votre journal, (20eme année d’existence) sera la dernière de l’année 2017.
Et, comme le temps passe inexorablement, dans quelques jours, l’année 2017 appartiendra définitivement au passé, à l’histoire.
Il est vrai que l’année mourante aura été très éprouvante (insécurité, cherté de la vie, rareté de l’argent, manque d’emploi) pour nombre d’entre vous, d’entre nous. Aussi, 2017 s’en va avec des illusions perdues, des attentes non comblées, des espoirs déçus, des promesses non-tenues pour beaucoup de Maliens.
Mais, cet indiscutable constat ne doit aucunement pousser à un pessimisme pouvant freiner les ambitions et l’espoir des uns et des autres.
Parce qu’il n’ya pas de raison de sombrer dans le désespoir, lorsque l’on est vivant.
En effet, chacun d’entre vous qui lira ces lignes, conserve ce qu’il y a de plus cher et sacré : la VIE, symbole de l’espérance.
Aussi, chaque Malien a le droit de vouloir et d’espérer que notre pays soit un paradis terrestre pour lui ou pour Tous. Mais, point d’illusions !
Cela ne sera, tant que l’insécurité, la corruption, la délinquance financière, l’injustice, l’abus de pouvoir, le népotisme régneraient dans ce pays.
Pour combattre ces maux, il faudrait que Tous, (du plus Grand au plus petit) nous nous mettions au travail, seul gage de développement.
Aussi, quelle que soit l’ambition que chaque Malien nourrirait pour le devenir de notre beau pays, (ou pour lui – même), chacun a le devoir de tout mettre en œuvre pour préserver la Paix sans laquelle, aucun développement n’est possible. Et aussi, privilégier les intérêts du Mali d’aujourd’hui, mais aussi (et surtout), ceux du Mali de…Demain.
Que Dieu le Tout puissant accorde ses bénédictions à notre pays et tous les autres, épris de paix, gage de tout progrès social, et bien inspirer nos dirigeants, hommes politiques (toutes tendances confondues) et le Peuple Malien. Afin que le Mali, notre « Bien Commun » puisse aller de l’avant et constituer pour Tous, une fierté !
A tous nos lecteurs et partenaires, à tous ceux qui nous soutiennent (souvent dans l’anonymat), à tous les Maliens, et autres qui vivent dans notre pays, le journal 26 Mars souhaite une très bonne fin d’année 2017.
A l’année prochaine Inchalla !
Boubacar Sankaré
Nous donner quelques jours de repos, de réflexion et d’auto-évaluation du chemin parcouru, telle est la raison pour laquelle cette édition de 26 Mars, votre journal, (20eme année d’existence) sera la dernière de l’année 2017.
Et, comme le temps passe inexorablement, dans quelques jours, l’année 2017 appartiendra définitivement au passé, à l’histoire.
Il est vrai que l’année mourante aura été très éprouvante (insécurité, cherté de la vie, rareté de l’argent, manque d’emploi) pour nombre d’entre vous, d’entre nous. Aussi, 2017 s’en va avec des illusions perdues, des attentes non comblées, des espoirs déçus, des promesses non-tenues pour beaucoup de Maliens.
Mais, cet indiscutable constat ne doit aucunement pousser à un pessimisme pouvant freiner les ambitions et l’espoir des uns et des autres.
Parce qu’il n’ya pas de raison de sombrer dans le désespoir, lorsque l’on est vivant.
En effet, chacun d’entre vous qui lira ces lignes, conserve ce qu’il y a de plus cher et sacré : la VIE, symbole de l’espérance.
Aussi, chaque Malien a le droit de vouloir et d’espérer que notre pays soit un paradis terrestre pour lui ou pour Tous. Mais, point d’illusions !
Cela ne sera, tant que l’insécurité, la corruption, la délinquance financière, l’injustice, l’abus de pouvoir, le népotisme régneraient dans ce pays.
Pour combattre ces maux, il faudrait que Tous, (du plus Grand au plus petit) nous nous mettions au travail, seul gage de développement.
Aussi, quelle que soit l’ambition que chaque Malien nourrirait pour le devenir de notre beau pays, (ou pour lui – même), chacun a le devoir de tout mettre en œuvre pour préserver la Paix sans laquelle, aucun développement n’est possible. Et aussi, privilégier les intérêts du Mali d’aujourd’hui, mais aussi (et surtout), ceux du Mali de…Demain.
Que Dieu le Tout puissant accorde ses bénédictions à notre pays et tous les autres, épris de paix, gage de tout progrès social, et bien inspirer nos dirigeants, hommes politiques (toutes tendances confondues) et le Peuple Malien. Afin que le Mali, notre « Bien Commun » puisse aller de l’avant et constituer pour Tous, une fierté !
A tous nos lecteurs et partenaires, à tous ceux qui nous soutiennent (souvent dans l’anonymat), à tous les Maliens, et autres qui vivent dans notre pays, le journal 26 Mars souhaite une très bonne fin d’année 2017.
A l’année prochaine Inchalla !
Boubacar Sankaré
La rédaction