Cette trêve de 15 jours, à compter de la date de sa signature est un engagement dans lequel la CMA et la Plateforme, s’engagent à ‘’parvenir à un accord de cessation d’hostilités globales et définitif.’’
Les deux parties ‘’s’abstiennent de toute provocation de nature à nuire à cette trêve, y compris toute propagande et déplacements de troupes et de combattants sans concertation préalable avec la MINUSMA.
Le chef de la MINUMA qui a facilité cet accord s’est félicité de sa signature par les parties.
Les deux signataires du jour, à savoir Harouna Toureh pour la Plateforme et Sidi Brahim Ould Sidati pour la CMA se sont engagés à respecter la trêve.
En Juillet, les deux parties signataires de l’accord se sont affrontés plusieurs fois aux portes de la ville de Kidal dans le nord du Mali. Il y a eu plusieurs victimes et des allégations de violations graves de droits de l’Homme sur lesquelles enquêtent actuellement la MINUSMA. Ces violations du cessez-le-feu condamnées par la mission onusienne, le gouvernement et des chancelleries occidentales, ont bloqué toute avancée dans la mise en œuvre de l’accord de paix.
AD/of/APA