C’est une déclaration qui a l’effet d’une bombe qu’un journaliste uruguayen d’ESPN Jorge Ramos a lâché récemment. L’homme de média accuse le Real Madrid d’avoir choisi son adversaire avant même le tirage au sort des huitièmes de finale de la Ligue des champions.
C’est une déclaration qui a l’effet d’une bombe qu’un journaliste uruguayen d’ESPN Jorge Ramos a lâché récemment. L’homme de média accuse le Real Madrid d’avoir choisi son adversaire avant même le tirage au sort des huitièmes de finale de la Ligue des champions.
A l’issue du tirage au sort des huitièmes de finale de la ligue des champions, le triple tenant du titre affrontera l’Ajax Amsterdam. Pour Jorge Ramos, un pure et simple trucage qui a permis au Réal Madrid d’affronter une équipe au niveau de jeu en dessous de la moyenne.Publicité
Un tirage qui visiblement fait les affaires du Réal Madrid. Le journaliste a indiqué que cet affrontement avait déjà été fixé avant même le tirage au sort. L’homme des médias ne s’est limité qu’à la seule déclaration. Il en a fait la démonstration, citant une source proche de l’instance européenne, lors de son émission “Jorge Ramos y su banda“.
Le 12 décembre dernier, le journaliste avait rediffusé une séquence où on le voyait montrer son téléphone à son voisin. “Regarde ce qui vient d’Espagne”, déclare-t-il, avant de lire à l’antenne le présumé message qu’il aurait reçu: “Jorge, Don Flore (Florentino Perez, ndlr) a demandé l’Ajax. Il travaille sur le sujet et a déjà envoyé un message à l’UEFA.”
Et cinq jours plus tard, le Real tombait donc effectivement sur le club néerlandais… De quoi, une fois de plus, laisser penser que le club merengue, et son tout puissant président, a choisi son adversaire avant même le tirage, en bénéficiant du fameux système des boules chaudes
Il faut dire que c’est une déclaration qui risque de faire grand bruit dans les milieux du football si le journaliste fournit des preuves probantes. Pour beaucoup d’amateurs de foot avec les nouveaux dirigeants du football mondial, la corruption et les trucages allaient connaître leur déclin. Mais visiblement, le football mondial n’est pas encore sorti de l’auberge, à en croire le témoignage du journaliste.