Présentes à Sotchi dans le cadre du premier sommet Russie-Afrique, les Premières dames d’Afrique ont été invitées à visiter les sites historiques et culturels incontournables de la ville. Mme Keïta Aminata Maïga et ses homologues ont donc effectué une véritable immersion dans l’histoire et la culture de cette ville balnéaire, qui a abrité les Jeux olympiques de 2014. C’est donc avec beaucoup de joie que Mme Keïta Aminata Maïga et ses homologues se sont rendues à la Datcha de Staline ou “Maison de Staline”. Le défunt président Staline sous l’époque soviétique passait ses vacances d’été à Sotchi. C’est même grâce à lui que la station balnéaire est devenue incontournable sur le bord de la mer Noire. Sa datcha est d’ailleurs encore aujourd’hui très visitée. L’on y découvre le quotidien de Staline. Il y a résidé pendant ses vacances jusqu’en 1950, trois ans avant sa mort en 1953. Une existence qui fascine encore de nombreux publics.

Après la datcha, les Premières dames se sont également rendues au parc Dendary et au musée de Khoudenov. Le Dendrary de Sotchi est un jardin botanique et un arboretum de la ville au bord de la mer Noire. C’est une collection unique de flore et de faune subtropicales qui est gérée par un centre de recherche de botanique et de sylviculture de montagne. Le musée de l’histoire de Sotchi présente une collection d’objets divers documentant l’histoire de la ville. Les Premières dames ont aussi visité le théâtre d’hiver, le parc olympique de Sotchi, le centre culturel et ethnique et la station climatique “Rosa Khoutor” de Sotchi située à 2.320 mètres d’altitude.
La Première dame, présidente de l’ONG Agir et présidente de l’Académie nationale olympique du Mali, a apprécié la visite de la ville à plus d’un titre. Tout d’abord, parce qu’elle a visité la ville devenue célèbre grâce à l’olympisme, mais aussi de son point de vue de militante de la protection de l’environnement, Sotchi est une ville qui a su préserver et aménager son environnement naturel exceptionnel qui attire et émerveille tout visiteur.

Cabinet de la
Première dame

Source: L’Essor-Mali